Alexandra David-Néel, une exploratrice sur le toit du monde
de Gwenaëlle Abolivier, Gopal Dagnogo (Dessin)

critiqué par JulesRomans, le 17 novembre 2012
(Nantes - 65 ans)


La note:  étoiles
Une fuite au Toit du monde
La narratrice conte là pour les jeunes ou pour les adultes, qui ne connaîtraient pas cette grande voyageuse de l’Extrême-Orient, ce qui a constitué l’essentiel de sa jeunesse et de ses voyages en bateau, à pied, sur une mule ou sur un yak. Cela nous permet d’approcher la vie au Sikkim à la Belle Époque et au Tibet dans l’Entre-deux-guerres par des anecdotes où la dimension religieuse bouddhique tient une grande place. Alexandra David-Néel est la plus grande exploratrice du XXe siècle et « ses récits constituent un témoignage unique car ils nous parlent d’un Tibet aujourd’hui disparu ». On se souviendra à la lecture de documentaire qu’en 1924, elle est la première femme occidentale à pénétrer incognito à Lhassa. La narratrice est productrice sur France-Inter d’émissions autour des voyages et des relations épistolaires. Le contenu du texte est relayé par une illustration pertinente qui se centre sur un détail significatif ou un ensemble plus large.